2008

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Retour de l’équipe de France en cette année olympique. Les bleus font leurs derniers réglages avant d’aller chercher l’or à Pékin. Comme en 2004, cette édition à lieu en juillet (24 au 27) et reprend le même rythme que 4 ans plus tôt, à savoir : un match le jeudi soir, un autre le vendredi puis deux matchs le samedi et deux le dimanche. Ainsi chaque équipe joue contre l’autre et le vainqueur se fait aux points dans une formule “championnat”. La FFHB a de nouveau fait les choses bien puisqu’elle a invité l’Islande et l’Espagne qui, avec la France constitueront le podium des jeux quelques semaines plus tard. L’Egypte, également qualifiée pour les jeux, complète comme en 2004, ce plateau royal. Les familles de joueurs sont présentes également et ne s’ennuient pas puisque ce sont tour à tour des journées chez PlumyPark, au Parc Aventure de Brumath et chez EuropaPark qui sont programmées par les organisateurs à leur attention.

  • Le joueur sur l’affiche est Thierry Omeyer de l’équipe de France
  • Retrouvez tous les détails de cette édition sur le site de l’époque en cliquant ici
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La France et l’Espagne dominent facilement l’Islande et l’Egypte durant les 3 premières journées pour se retrouver, comme en 2004, le dimanche dans un match qualifié de finale puisque décisif pour le titre 2008. Comme en 2004 et devant une salle à guichets fermés, les bleus dominent les espagnols  principalement en seconde mi temps (15-17 puis 33-29).
L’Egypte prend la 3ème place aux dépends de l’Islande (33 à 30).

Classement
1) France – 2) Espagne – 3) Egypte – 4) Islande

Meilleur joueur : Bertrand Gille (FRA)
Meilleur Gardien : David Barruffet (ESP)
Meilleur Buteur : Juan Garcia (ESP) 24 buts

 


Les matchs en détail

Jeudi 24 Juillet 2008

France 29   –  Egypte 21

Rhenus sport. Mi-temps: 14-10. 4000 spectateurs environ. Arbitrage de MM. Bader et Imloul. FRANCE: Omeyer (7 arrêts) et Karaboué (9 arrêts) aux buts. Fernandez 8 dont 2 pen., G. Gille 2, B. Gille 4, Narcisse 5, Karabatic 1 pen., Abalo 2, Ostertag 3, Paty 4. EGYPTE: Nakib (6 arrêts dont 1 pen.) et Abdle-Maksoud (5 arrêts) aux buts. Hussein 2, Ahmar 3, Ramadan 1, El-Salam 3, Belal 1, El-Fakharany 2, Yosri 2, Zaki 7.
L’équipe de France est entrée de façon très satisfaisante dans l’EuroTournoi ce jeudi soir à Strasbourg. Devant 4000 spectateurs, les hommes de Claude Onesta, après une entame un peu laborieuse, en défense notamment, ont su serrer les rangs et battre l’Egypte 29-21. C’est sans Michaël Guigou, c’était prévu, et, c’était moins prévu, sans Olivier Girault la nuque bloquée par un torticolis que les Bleus entament la rencontre. Sébastien Ostertag est donc titulaire à l’aile gauche. Luc Abalo ouvre la marque avant de voir les Egyptiens prendre le dessus sur la défense française. Avec une circulation de balle très rapide, les Pharaons trouvent facilement leurs pivots et prenent un peu d’avance (5-8, 12e’). Rien de bien grave cependant. L’entrée de jeu de Jérôme Fernandez, excellent tout le match, et une défense plus concentrée inversent la tendance. Sébastien Ostertag égalise à la 22e’ (8-8), il marque aussi le 11-9. En douze minutes les Egyptiens ont encaissé un 6-1 rédhibitoire malgré deux échecs français aux penalties par Karabatic et Narcisse. 14-10 à la mi-temps, la France a mis une douzaine de minutes à se mettre en route. La seconde période est sur cette lancée. Les Français inscrivent quelques jolis buts sur attaques placées et comme la défense et Daouda Karaboué restent vigilants, les montées de balles s’enchaînent. 22-16 par Cédric Paty (49e’). Les Egyptiens ne résistent que par Zaki (6 buts en deuxième mi-temps). Côté français, Fernandez étrenne son récent record de buts marqués sous le maillot bleu par 8 nouvelles marques à son compteur (1033 maintenant) et quelques passes décisives dont Paty notamment, se régale. 29-21 finalement, un bon départ pour ce 15e EuroTournoi.
Eric SEYLLER

 


Vendredi 25 Juillet 2008

Espagne 38   –  Islande 32

Mi-temps: 17-14. Arbitrage de MM. Reibel et Moreno. Espagne: Barrufet (11 arrets) et Hombrados (9 arrets) aux buts. A. Entrerios 8, Rocas 1, R. Entrerios 2, R. Garabaya 6, Prieto 2, Belaustegui 1, Davis 1, Garcia 10 dont 6 pen., Romero 3, Tomas 4. Islande: Gustavsson (6 arrets) et I.Gudmundsson (12 arrets) au but. Geirsson 5, S.Sigurdsson 1, GV.Sigurdsson 3, Gudjonsson 7, Stefansson 4, Petersson 6, Gunnarsson 5.
L’Espagne est entree de plain pied dans cet EuroTournoi. Les joueurs de Juan Carlos pastor ont mis un petit quart a prendre le pouls des Islandais avant de les etouffer avec leur defense. Barrufet faisait le reste dans ses buts et profitant de ses montees de balle, l’Espagne prend quatre buts d’avance par Rocas (12-8, 19e’). “L’Espagne a une bonne defense, un super gardien et des mobylettes partout!” explique Laetitia Denier, l’ancienne gardienne de l’ASPTT Strasbourg. Avec dans le role des mobs, Garcia et Tomas. L’Espagne tente des tactiques un peu speciales. Sortir le gardien pour passer la chasuble a un ailier par exemple. Ca marche, comme a la 30e’ quand l'”enchasuble” Davis marque mais une minute plus tot, Gudmunsson, le gardien islandais avait marque depuis sa zone dans le but vide: tactique speciale: 1-1. D’entree de second eperiode, les Espagnols appuyent sur l’accelerateur. Garabaya marque cinq fois en douze minutes. Olafur Stefansson est totalement bloque par la defense rouge. De 22-20 a la 38e’, le score grimpe a 32-23 a la 47e’. La messe est dite. Les Islandais reduiront cependant l’ecart, Stefansson marquant enfin mais la victoire etait espagnole depuis longtemps. Si la logique est respectee ce soir, le France- Espagne de dimanche servira de finale a ce 15e EuroTournoi.
Eric SEYLLER

 


Samedi 26 Juillet 2008

Espagne 37   –  Egypte 29

Mi-temps: 19-14. 3000 spectateurs environ. Arbitrage de MM. Buy et Moreno. ESPAGNE: Hombrados ( 5 arrêts) et Barrufet (10 arrêts dont 1 pen) aux buts. Rocas 4, Garabaya 2, Prieto 3, Davis 2, Garcia 8 dont 4 pen, Romero 4, Malmagro 6, Ruesga 3, Tomas 5. EGYPTE: Nakib (6 arrêts) et Abdel-Maksoud (5 arrêts dont 1 pen) aux buts. Mabrouk 1 pen, Hussein 2, Ahmar 1, Ramadan 1, Abou-El-Fetou 3, El-Salam 8, El Fakharany 1, Yosri 5, Zaky 7 dont 1 pen.
Le suspense n’aura duré qu’une minute hier entre l’Espagne et l’Egypte. Le temps pour les Espagnols de perdre 3 balles et l’Egypte de mener 0-1 et puis fini… La défense espagnole prend très vite le dessus. Les Egyptiens perdent ballon après ballon, ne sachant qu’en faire. Les mobylettes espagnoles chères à Laetitia Denier jouent toutes les montées de balle et inscrivent un 9-0 (9-1, 12e’). L’Egypte connaît un premier quart d’heure totalement raté. Zaky retourne sur le banc et paradoxalement c’est sans leur maître à jouer que les Pharaons redressent la tête. Yosri et El-Salam trouvent enfin le cadre, l’écart se réduit un tantinet. Garcia et Malmagro font cependant en sorte de laisser les Egyptiens à bonne distance. 12-7, 19e’ puis 16-8, 23e’. Les joueurs de Juan Carlos Pastor gèrent et l’écart est de 5 buts à la pause. La seconde période démarre bien mieux pour les Africains. Zaky est revenu et bien plus productif arrière gauche que demi-centre, mais ses 7 buts de la deuxième mi-temps n’y suffiront pas. Ses coéquipiers ont toutes les peines du monde à être productifs en attaque. Malmagro -la future star espagnole?- Garcia (100% à 8/8) et Tomas (100% aussi à 5/5) ne se font pas prier pour augmenter le pécule espagnol. 22-17, 37e’ puis 28- 20, 47e’. L’Espagne est assurée de terminer à l’une des deux premières places de ce 15e EuroTournoi. Leur match face aux Français en constituera même la finale puisque les deux équipes comptent désormais deux victoires. Dans un Rhenus que l’on annonce plein et avec la même ambiance que lors du France-Islande, ça devrait le faire, vivement 17 heures!
Eric SEYLLER

 

France 31   –  Islande 28

Mi-temps: 16-16. 4500 spectateurs environ. Arbitrage de MM. Bader et Reibel. Carton rouge à Gunnarsson (47e’). FRANCE: Omeyer (6 arrêts) et Karaboué (8 arrêts aux buts). Fernandez 5, Burdet 2, G. Gille 1, B. Gille 2, Girault 1, Karabatic 6 dont 1 pen, Kempé 4, Abati 3, Abalo 3, Guigou 4. ISLANDE: Gustavsson (3 arrêts) et Gudmunsson (13 arrêts dont 1 pen) aux buts. Geirsson 4, S. Sigurdsson 3, Hallgrimsson 1, G. Sigurdsson 1, Gudjonsson 8 dont 5 pen, Stefansson 6, Petersson 3, Gunnarsson 2.
Après l’Egypte jeudi soir (29-21), la France a remporté son deuxième match de l’EuroTournoi en venant difficilement à bout d’une équipe islandaise qui n’aura lâché définitivement prise que dans les dernières minutes. Ce sont d’ailleurs les Islandais qui prennent le meilleur départ. Privés de Narcisse (angine) et Dinart (béquille au mollet) mais récupérant Guigou et Girault, les Bleus accusent rapidement trois buts de retard (2-5, 5e’). Mais le travail effectué sur le jeu d’attaque, notamment sur les attaques placées commence à porter ses fruits. Burdet puis Bertrand Gille profitent des caviars de Karabatic, ce même Karabatic donnant pour la première fois l’avantage aux Français sur un Schwenker d’école (8-7, 13e’). Gros souci cependant pour les hommes de Claude Onesta, les penalties… Cette fois encore, la réussite n’était pas au rendez-vous. Fernandez puis Guigou échouant dans leur tentative. C’est décidement un point noir qui peut s’avérer très pénalisant en cas de match serré. Toujours est il que les Islandais, pourtant repoussés plusieurs fois à deux longueurs, ne lâchent^pas prise. Gudmunsson fait plusieurs arrêts sur des tirs à six mètres alors que de leur côté Gudjonsson et Stefansson trouvent l’ouverture. Abalo sert parfaitement Karabatic puis Frernandez, cela ne suffit pas. Hallgrimsson égalise avant la pause (16-16). La deuxième période démarre sur le même rythme. A la différence près que les Islandais parviennent à reprendre l’avantage par Stefansson à deux reprises (20-21, 40e’ et 22-23, 44e’). Heureusement, la défense française hausse son niveau et récupère des balles que ses mobylettes (Eh oui, Laetitia Denier, les Français ont aussi des mobs!) Guigou et Abalo transforment. A +5 (29-24, 51e’) on peut croire le match plié. C’est sans compter sur la pugnacité islandaise et un petit relâchement des Bleus. Gudjonsson et Sigurdsson leur infligent un 0-4 qui remet tout en cause (29-28, 55e’). Karaboué effectue deux arrêts qui sonnent le glas des espoirs adverses. Formidablement aidés par le public du Rhenus, les Bleus par Guigou et Abati scellent le sort du match. Le France-Espagne de dimanche constituera la finale du tournoi!
Eric SEYLLER

 


Dimanche 27 Juillet 2008

France  33  –  Espagne  29

Mi-temps : 15-17. Environ 5500 spectateurs. Arbitres : MM Buy et Moreno. FRANCE : Omeyer (1ere-60e, 22 arrêts) et Karaboué au but. Fernandez 4/8, Burdet 2/3, G. Gille 3/5, B. Gille 5/5, Girault (cap.) 3/4 (dont 1/2 pen), Karabatic 4/6, Kempé 1/2, Abati 7/9 dont 3/3 pen, Abalo 2/5 dont 0/1 pen, Guigou 2/2. ESPAGNE : Hombrados (31e-60e, 6 arrêts) et Barrufet (cap., 1ere-30e, 8 arrêts) au but. A. Entrerios 0/3, Rocas 2/3 dont 1/2 pen, R. Entrerios 3/4, Garabaya 2/4, Prieto 5/5, Belaustegi 0/2, Davis 0/1, Garcia 6/8 dont 2/3 pen, Romero 6/10 dont 1/1 pen, Malmagro 2/6 dont 0/1 pen, Ruesga 1/2, Tomas 2/3.

A moins de deux semaines de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, l’équipe de France a marqué son territoire en matant l’Espagne hier soir en finale de l’EuroTournoi. Toujours bon à prendre.

Puisqu’il n’était pas question de tirer des enseignements définitifs et tranchés samedi soir à l’issue d’un match victorieux mais inachevé face à l’Islande, il ne saurait en être autrement ce matin. Même si la tentation est grande, fatalement, de voir autre chose dans ce net succès face à l’Espagne qu’une victoire de prestige. Claude Onesta s’en gardait, évidemment. « C’est un match de préparation à analyser comme tel, tempérait le sélectionneur français. On va déjà essayer de comprendre pourquoi on a fait un début de match excellent et pourquoi on a fait un deuxième quart d’heure indigne de l’équipe de France »

Un 8-2 en neuf minutes dans les gencives

Pour lui, « les Espagnols n’ont pas puisé dans leurs réserves, n’ont pas pris de risques outre mesure. Tactiquement, si on les joue là-bas, il faudra proposer quelque chose d’autre ». Reste que rien n’interdit de savourer. Car hier les Bleus, toujours privés de Dinart et de Narcisse mais avec Bertrand Gille, élu meilleur joueur du tournoi, ont impressionné devant un public chauffé à blanc. En démarrant d’abord ce match sur les chapeaux de roues dans le sillage d’un Thierry Omeyer stratosphérique (22 arrêts, dont 3 penalties au total) en trouvant l’énergie pour rétablir une situation mal embarquée ensuite. Auteur d’une petite partie la veille, l’ancien Sélestadien a ainsi écoeuré les tireurs espagnols dans les premières minutes en réalisant six arrêts, dont un penalty en 6’. Résultat, 4-0, 5-1 puis 8-3 pour des Bleus agressifs en défense et intenables en attaque… jusqu’à ce « deuxième quart d’heure indigne » évoqué par Onesta. Subitement, la belle mécanique tricolore s’est en effet enrayée. Iker Romero, Prieto et Juan Garcia, le meilleur buteur du tournoi, ramenaient d’abord les Espagnols sur le porte-bagages des Français (11-11, 18e’) avant de les déposer sur place ou presque (11-13, 20e’) grâce à un 8-2 infligé en 9’. Et pan, dans les gencives !

« Pas de certitudes, que des points d’interrogation »

La force de cette équipe de France aura évidemment été de savoir arrêter l’hémorragie. Car même si les Espagnols en ont sans doute gardé sous le pied, ils ne se seraient pas privés de maintenir la tête sous l’eau de leurs vieux rivaux s’ils l’avaient pu. Ils n’ont pas pu. Ils ont même cédé dans les grandes largeurs face à des Bleus survoltés à l’image de l’inoxydable Joël Abati (meilleur buteur français avec 7 buts). Et laissé filer une avance qui a un instant atteint les quatre buts (17-21 à la 35e’) avant de grimper à six (33-27, 59e’) et de se stabiliser à cinq au final. On a beau dire, pour la confiance, il y a mieux. « On a pu bien travailler en étant dans des conditions difficiles vues les absences de Narcisse et de Dinart, avance Nikola Karabatic. Ce ne sont que des matches de préparation, mais il est important de les gagner. Nous n’avons pas de certitudes, que des points d’interrogation ». Vraiment ?
Pascal Coquis

 

Egypte 33  –  Islande  30

Mi-temps : 18-14. Environ 3500 spectateurs. Arbitres : MM. Bader et Reibel. EGYPTE : Nakib (1ere-22e et 25e-60e cap. 16 arrêts) et Walid (22e-25e, 2 arrêts) au but. Mahmoud, Hu. Mabrouk 2/3, Hussein 2/2, Ahmar 8/12 dont 0/1 pen., Ramadan 5/6, Ahmed Abou 2/3, Ha. Mabrouk 1/2, El-Salam 5/8, Belal 2/2, El-Fakharany 1/1, Yosri 1/3, Zaky 4/10 dont 2/3 pen. ISLANDE : Gustavsson (15e-60e, 11 arrêts) et Gudmunsson (1ere-15e, 4 arrêts) au but. Geirsson 5/12, Frtitzson 2/2, S. Sigurdsson 1/1, Hallgrimsson 3/3, G-V. Sigurdsson 3/9, Gudjonsson 6/10 dont 5/5 pen, Stefansson (cap.) 2/2, Asgeirsson 1/2, Petersson 4/7, Jakobsson 1/2, Gunnarsson 1/1, Ingimunsson 1/1.

CONQUÉRANTS ET MANDARINS
Tournoi de préparation Olympique, prélude à de longs moments passés scotché devant un écran qui ramène à la maison les images de nos sportifs préférés en plein effort. C’est bien la première marche dans la conquête du graal suprême, la médaille d’or. Quelle joie, quel luxe que de pouvoir témoigner aux joueurs notre espoir, notre affection et notre soutien dans cette perspective qui rejaillirait sur la nation et flatterait notre ego de handballeur. Nous sommes tous près à apporter notre pierre à la construction de cette ambition qui, à l’inverse de la grande muraille, n’empêchera pas les autres de venir, mais cimentera la famille sportive dans la plus belle et louable des ambitions. Faisons en sorte, dans le respect absolu de nos amis invités, de témoigner bruyamment, chaleureusement notre soutien et notre présence aux côtés de nos sportifs. Impulsons et suivons ce mouvement qui pourrait nous emmener à la victoire. Il n’est point de situation acquise, seuls la volonté, l’âme et le courage nous feront avancer. Au pays des Mandarins, l’avenir appartient aux conquérants !
CC

(Edito de l’EuroMag N°52 du jeudi 24 juillet 2008 par Christian CARL)
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