2001

The recommended dose of tamoxifen citrate for sale in the postmenopausal group is 10 mg daily, whereas in the treatment of estrogen-receptor positive disease, the tamoxifen citrate for sale dose is 10-20 mg daily. These can be very cheap and give you the ability to communicate with family members gaba 300 mg price Pantai Remis who are not always online. The most common uses are in the management of allergic conditions such as anaphylaxis and asthma.

Other common names: kamagra oral jelly uk delivery. Are over prednisone rx coupon Ciudad Nezahualcoyotl the counter medications more effective in children? It has been shown to be effective against a variety of bacteria and can be used in the treatment of the following infectious diseases: mycoplasma pneumonia, mycoplasma genitalium, mycoplasma genitalium-orchitis, chlamydial infections,

Retour à la version “clubs” pour cette 8ème édition avec deux poules de 4 équipes, moitié françaises et moitié étrangères. Chambéry, auréolé de son tout frais titre de champion de France (devant Montpellier) revient à l’ET en tenant du titre (1999) accompagné de son dauphin montpelliérain, du Paris SG et de Sélestat. Côté étrangers, retour de Magdebourg et de 3 nouveaux avec les espagnols d’Altea, les hongrois de Dunaffer et les croates de Metkovic. La poule A est à nouveau délocalisée à Reichstett le mercredi, les autres rencontres ayant lieu à la Robertsau et aux Malteries tout comme les finales.
Cette édition verra les débuts très prometteurs d’un gamin montpelliérain de 17 ans qui lors de son premier match marquera 6 buts contre le Paris SG. Son nom ? Nikola Karabatic… de retour dans la ville qui l’a vu grandir et où son papa, le regretté Branko s’est illustré avec La Robertsau.

  • Le joueur sur l’affiche est Jérôme Fernandez de Montpellier
  • Retrouvez tous les détails de cette édition sur le site de l’époque en cliquant ici
  • Retrouvez plus de détails dans les archives de l’EuroMag

Chambéry conserve son titre en dominant largement en finale les surprenants espagnols d’Altea (24 à 15) qui avaient pourtant écarté Montpellier en poule. Ce dernier se reprendra en prenant la 3ème place aux dépends de Dunaffer (25 à 21). Magdebourg avec son armada de tous récents champions du monde français (Gaudin, Abati, Kervadec) épaulés des Stefansson, Wigert, Machulla ou autres Kretzschmar aura du mal à prendre la 5ème place à Sélestat (31 à 27) mais se rachètera quelques mois plus tard en remportant la Ligue des Champions contre Veszprem. Le Paris SG évite la dernière place en battant 29 à 23 une bien décevante équipe de Metkovic qui avait pourtant dans ses rangs des joueurs de très grand talent comme Goluza, Metlicic ou Dominikovic.

1) CHAMBERY – 2) ALTEA – 3) MONTPELLIER – 4) DUNAFERR – 5) MAGDEBOURG – 6) SELESTAT – 7) PSG – 8) METKOVIC

Meilleur Joueur : Bertrand Gille (Chambéry)
Meilleur Gardien : Peter Norklit (Altea)
Meilleur Buteur : Jerome Fernandez (Montpellier) 28 buts

 


Les matchs en détail

Mercredi 22 Aout 2001

SÉLESTAT 31  –  METKOVIC 23

Centre Sportif de la Robertsau – ‘Mi-temps 18-8. 800 spectateurs environ. Arbitrage de MM. Bourgeois et Denis. Sortis pour deux minutes: Sayad (18©), Freppel (23e), Stachnick (33e, 36e), Omeyer (39e), Engel (40e) à Sélestat; Bjelis (10e, 17e), Zsigmond (42e), Melticic (34e), Jelcic (42e, 55e) à Metkovic. SÉLESTAT: Tchoumak (1ere-30e, 9 arrêts dont un penalty) et Eiché (31e-60e, 6 arrêts dont un penalty) aux buts. Schmidt, Karcher 1, Engel 6, Pabst 3, Gull 9 (1 pen), Omeyer, Feliho, Sayad 7 (1 pen), Stachnick 1, Willmann 1, Winterberg, Freppel 3, Schaerlinger. METKOVIC: Vujovic (1ere-17e et 22e-60e, 12 arrêts dont 1 penalty) et Percin (17e-22e, aucun arrêt) aux buts. Kaleb 5, Bjelis, Goluza, Medic, Raguz 2, Vukas, Dominikovic 6, Markovski 4 (2 pen), Zsigmond 3, Kubrika 1, Jelcic 1, Melticic 1.
Sélestat, annoncé comme comme le petit poucet de cet eurotournoi a déjoué les pronostics dès le premier match. Pourtant, ce n’étaient pas des enfants de coeur qui faisaient face au SCS. Les Croates de Metkovic, 2e de leur championnat disputeront la ligue des champions, une sacré référence. Après 7 petites minutes de jeu, Sélestat faisait déjà la course en tête, avec 5 longueurs d’avance grâce à Sayad et Gull. Quelle que soit la distance, leurs bras surpuissant trouvaient le chemin des buts, de quoi totalement dégouter les Croates, menés de 10 buts à la mi-temps ! Ce “diable” d’Engel, dopé par la naissance de son fils (il y a 15 jours) régalait lui aussi l’assistance avec des tirs plus lointains les uns que les autres. Au retour des vestiaires, Metkovic se montre enfin à la hauteur de sa réputation en passant un 3-0 aux Alsaciens, mais l’embellie n’est que de courte durée. Sous la houlette de Gull, auteur de 9 buts (sur 10 tentatives, Sélestat crée la première très bonne surprise de ce 8e eurotournoi.
Aurélien Gasser

 

CHAMBERY 26  –   DUNAFERR 24

Centre Sportif de la Robertsau – Mi-temps 14-14. 800 spectateurs environ. Arbitrage de MM. Bader et Imloul. Sortis pour deux deux minutes : B. Gille (2x), Munier, G. Gille à Chambéry ; Kemeny, Rosta, Marcinkevicius et Decsi, Mocsai à Dunaffer. CHAMBERY : Varloteaux (1ere-30e, 8 arrêts dont 1 pen) et Arriuberge (31e-60e, 8 arrêts dont 2 pen) aux buts. Moualek 2 pen, Delric 3, Paillasson, Grossmann 3, B. Gille 5, Munier, Narcisse 5, G. Gille 6 (1 pen), Molliex, Wiltberger 2, Kos. DUNAFFER : Stoehl (31e- 60e, 6 arrêts dont 2 pen) et Szatmmary (1ere-30e, 7 arrêts) aux buts. Kuzmicsev 3, Kemeny, Toro 3, Bene, Decsi, Rosta, Kertesz 3, Mohacsi 4 (2 pen), Marcinkevicius 3 (2 pen), Toth 1, Tombor, Mocsai 7 (1 pen). Dans un Eurotournoi où les grandes affiches se bousculent, celle opposant Chambéry aux Hongrois de Dunaferr avait fière allure. Ce n’était pas moins que la confrontation entre l’ancien champion de Hongrie, finaliste de la Coupe des Coupes (2000) et récent vice-champion de son pays (2001) et l’ex dauphin attitré de Montpellier (2000) devenu enfin champion de France (2001) et futur participant à la Ligue des Champions. Les deux équipes se sont livrées un stressant mano à mano. L’une prenait un peu d’avance, l’autre la rattrapait illico. Les deux gardiens ont offert aux spectateurs un beau duel à distance avec huit arrêts pour le Hongrois Szatmmary et 7 pour le Français Varloteaux. A la mitemps, les deux formations se quittaient sur le score révélateur de 14- 14. De retour sur le terrain, Chambéry et Dunaferr éprouvaient toujours autant de difficultés à semer l’autre. A trois minutes du coup de sifflet final, Chambéry menait 25-24. Les Savoyards, grâce à une défense valeureuse et combative (brillamment dirigée par l’ex-Sélestadien Marc Wiltberger) tenaient cette avance jusqu’au terme de la rencontre. Mieux encore, à dix secondes de la fin, Grossmann ponctuait une remontée de balle express par un joli tir croisé, portant la marque à 26- 24.
Romain SUBLON

 

MONTPELLIER 20   –  ALTEA 21

Complexe Sportif de Reichstett. Mi-temps : 8-11. 500 spectateurs environ. Arbitrage de MM. Charron et Rétif. MONTPELLIER : Martini (1ere’-30e’ et 45e’-58e’, 11 arrêts dt 0/1 pén.) et Omeyer (31e’-44e’ et 58e’-60e’, 0/1 pén.) dans les buts ; Sioud 8 dt 1/2 pén., Fernandez 7 dt 1/2 pén., Puigségur 2, Burdet 1, Golic 1, Kabengele 1, Dinart, Gherbi, Pages, Krantz, Junillon, Karabatic, Guigou, Scaccianoce ALTEA : Norklit (1ere’-60e’, 22 arrêts dont 0/2 pén.) David (2/2 pén.) dans les buts ; Marcos 7, Barbeito 5, Jakobsen 5 dt 1 pén., Jimenez 3 dt 1 pén., Espar 1, Arraras, Joukov, Gonzales, Garcia Lloret, Jorgensen, Milinovic, Giner Exclusions temporaires : à Montpellier : Martini (58e’) ; à Altea : Jimenez (19e’), Milinkovic (38e’), Claus (49e’), Jorgensen (58e’). Disqualification : Jimenez (60e’).
Montpellier a subi une surprenante défaite aux dépens d’Altea (20-21). Les Espagnols, sans grande inspiration mais accrocheurs à souhait, profitent des approximations héraultaises. A l’image d’un Burdet malheureux dans le geste décisif, le vice-champion de France peine à trouver des solutions. Seul Sioud et son bras gauche explosif ramènent les Ibères à la raison (6-7 21e’). La vivacité des ailiers espagnols, Marcos et Barbeito, mettent les Français au supplice. L’affaire semble même pliée lorsqu’Altea émarge avec six longueurs d’avance (12-18 48e’). Le moment choisi par Sioud, auteur de huit buts, et Fernandez de relancer la machine (20-21 57e’). Hélas, un coup de sang de Martini suivi d’un lob manqué de Puigségur condamne Montpellier à échouer sur ce score.

 

PARIS SG 25   –  MAGDEBOURG 28

Complexe Sportif de Reichstett. Mi-temps : 15-14. 500 spectateurs environ. Arbitrage de MM. Bord et Buy. PARIS SG : Clémençon (1ere’- 30e’, 9 arrêts dt 1/2 pén.) et Siffert (31e’-60e’, 8 arrêts) ; Vojinovic 3, Viktorsson 4 dt 2 pén., Girault 2, Chailly 3 dt 0/1 pén., Zuzo 2, Malatchoumy 1, Ignol 5 dt 2/2 pén., Arivé 2, Racine 1, Payet 2, Zuniga 0/1 pén. MAGDEBOURG : Gaudin (1ere’-30e’, 9 arrêts dt 0/2 pén.) et Agerschou (31e’-60e’, 11 arrêts dont 2/4 pén.) aux buts ; Perunicic 7, Stefansson 5 dt 1/1 pén., Kretzschmar 5, Abati 5 dt 0/1 pén., Kervadec 3, Machulla 2, Wiegert 1 Exclusions temporaires : au PSG : Zuzo (19e’, 28e’), Girault (19e’, 23e’), Malatchoumy (37e’) ; à Magdebourg : Spenger (21e’), Perunicic (22e’), Stefansson (23e’, 27e’), Liesegang (56e’), Wiegert (60e’)
Le match phare de cette journée, entre Magdebourg et le PSG, a offert une intéressante opposition de styles. D’un côté, les champions d’Allemagne impressionnent par leur physique de bûcherons et leur force de frappe. Seul Kretschmar apporte une touche de fantaisie à une rigueur toute germanique. De l’autre, les Parisiens pétillent grâce à un collectif bien léché et une vivacité déconcertante. On reconnaît la patte Boro Golic. D’entrée, Perunicic et Stefansson ont la main lourde (15-12 26e’). Mais les Parisiens ont des ressources. Chailly puis Ignol permettent aux Français de prendre les devants (14-15 30e’). Girault et les siens ont du coeur, les Allemands des bras. Magdebourg prend finalement l’ascendant (28-25). La bande à Kervadec consolide son statut de favori.

 


Jeudi 23 Aout 2001

MAGDEBOURG 27   –  ALTEA 27

Centre Sportif de La Robertsau – Mi-temps 11-14. 600 spectateurs environ. Arbitrage de MM. Bourgeois et Denis. Sortis pour deux minutes : Stiebler (17e et 55e), Kervadec (47e) et Abati (60e) à Magdebourg ; Jimenez (22e et 27e) et Barbeito (39e) à Altea. MAGDEBOURG : Agerschou (1ere-30e, 4 arrêts), Gaudin (31e-60e, 4 arrêts) et Stange aux buts. Kretzschmar 3, Wiegert, Machulla 7, Kloppe, Stenfasson 6 (2 pen), Kervadec 4, Perunicic 6, Liesegang, Stiebler, Sprenger, Abati 4 (3 pen). ALTEA : Norklit (tout le match, 20 arrêts) et David aux buts. Jakobsen 5, Jimenez 3 (1 pen), Barbeito 2, Jorgensen 2, Joukov 1, Marcos 6, Celestino, Milinovic 4,
L’opposition entre l’ogre allemand de Magdebourg (vainqueur de la Coupe de l’EHF en 1999 et 2001, champion d’Allemagne 2001) et le ouistiti espagnol d’Altéa (11ème du championnat d’Espagne) aurait, en théorie, dû tourner au vinaigre pour les Ibériques. Et pourtant, ce sont bien eux qui ont fait boire la tasse, de Sangria bien sûr, aux Allemands. Altéa réussissait une première période de toute beauté, à l’image de son meneur Jakobsen, regagnant ainsi les vestiaires avec 3 buts d’avance. Toujours aussi hargneux et enthousiastes, les Espagnols débutaient la seconde période sur le même rythme. L’équipe de Magdebourg éprouvait toujours des difficultés en défense mais semblait se ressaisir. Longtemps, jusqu’à quatre minutes du terme, le gardien d’Altéa Norkilt (20 arrêts au total) préservait l’avance des siens. Mais un double exploit (un but dans le dos et un petit lob) de la star d’outre-Rhin Stefan Kretzschmar permettait aux Allemands d’égaliser. La marque ne changeait plus et les deux formations se quittaient sur un score de parité. Dans les tribunes, le match opposant les tambours de Magdebourg (dirigés par 3 supporters du club) à la castra d’Altéa (un animateur radio espagnol plutôt volubile) se finissait également sur une belle égalité.
Romain Sublon

 

MONTPELLIER 29   –  PARIS SG 16

Centre Sportif de La Robertsau – Mi-temps: 12-7. 900 spectateurs environ. Arbitrage de MM. Bader et Imloul. Sortis pour deux minutes: Scaccianoce (50e) à Montpellier; Girault (51e), Racine (52e), Zuniga (55e) au PSG. MONTPELLIER: Omeyer (1ere – 45e, 11 arrêts dont 1pén) et pages (46e – 60e, 2 arrêts) aux buts. Krantz, Dinart 1, Kabengele 2, Karabatic 6, Scaccianoce 1, Puigsegur 2; Fernandez 5, Golic 5, Burdet 3, Sioud 4, Gherbi. PARIS SG: Siffert (1ere – 24e, 25e – 30e, 9 arrêts), Clémençon (24e -25e, 31e – 60e) aux buts. Racine 1, Ignol 3, Gruszczynski, Zuniga 1, Viktorsonn 2, Arive, Malatchoumy 1, Payet 2, Chailly 1, Vojinovic 2, Girault 1, Zuzo 2
La revanche officieuse de la finale de la coupe de France a rapidement tourné à l’avantage des Montpelliérains, remarquablement organisés en défense autour de leur tour de contrôle Dider Dinart. Et comme en attaque Golic et Sioud alimentaient la marque, les Héraultais avait déjà fait le break à la mi-temps (12-7). Girault et les siens incapables de tenir la distance face aux assauts répétés de leurs adversaires se faisaient irrémédiablement lâcher, le score passant de 15-9 à 21-11 en _ d’heure. Le temps pour Nikola Karamatic (17 ans seulement) d’inscrire 6 buts à 100% et de sortir de l’ombre de son père Branko. La fin de rencontre n’était plus qu’anecdotique, et malgré quelques jolis buts de Payet ou Ignol, Fernandez inscrivait 5 buts de rang pour encore aggraver le score. Au final + 12 pour Montpellier, qui se rattrappe bien de sa défaite face à Altea. Paris (2 défaites en 2 matches) doit impérativement réagir face à Altea !
Aurélien GASSER

 

SÉLESTAT 25   –  CHAMBÉRY 30

Salle des Malteries – Mi-temps: 9-17. Arbitrage de MM. Carmaux et Carmaux. 600 spectateurs environ. SÉLESTAT: Tchoumak (1ere’-30e’ et 42e’-60e’, 15 arrêts dont 1 pén.) et Eiché (31e’-42e’) aux buts; Gull 3 dt 0/1 pén., Sayad 5 dt 0/1 pén., Engel, Pabst 2, Freppel 1, Karcher 4, Stachnick 1, Willmann 1, Schmidt 3, Omeyer, Feliho 4, Winterberg, Schaerlinger 1 CHAMBÉRY: Varloteaux (1e’-30e’, 7 arrêts) et Arriubergé (31e’-60e’, 7 arrêts dt 2 pén.) aux buts; G. Gille 2, B. Gille 2, Narcisse 1, Wiltberger, Moualek 6 dt 4/6 pén., Munier 1, Grossmann 5, Molliex, Kos 1, Delric 9, Paillasson 3. ‘Exclusions temporaires: à Sélestat: Schmidt (37e’), Karcher (54e’); à Chambéry: Wiltberger (34e’), Paillasson (47e’), Munier (49e’), G. Gille (50e’), Moualek (52e’).
L’atome de Savoie
Le SC Sélestat qui restait sur une probante victoire face à Metkovic mercredi soir n’a rien pu faire face au champion de France, Chambéry. La faute à une défense savoyarde intraitable autour des frères Gille et de Marc Wiltberger, la faute aussi à la fébrilité des Sélestadiens auteurs de trop nombreuses pertes de balles. A ce jeu là, Mickaël Delric, l’ailier gauche des joueurs de Philippe Gardent, et véritable électron libre, s’en donnait à coeur joie en contre-attaque (6 buts en première période, 9 au total). ‘Ce n’est qu’à la 12e minute que Didier Stachnick inscrivait le premier des Alsaciens. Les Savoyards avaient déjà sept unités à leur compteur… Le score continuait de grimper en faveur des Chambériens: 1-11 (17e’), 4-14 (22e’) et finalement 9-17 à la pause. ‘Le début de la seconde période fut du même tonneau. Beaucoup de ratés sélestadiens sanctionnés par des buts en contreattaque de Chambéry. L’écart atteignait à nouveau les dix buts (44e’) lorsque Feliho, Sayad et Karcher redonnaient de l’élan à l’équipe de Alain Quintallet. Sélestat inscrivait un 10-5 dans le dernier quart d’heure pour ne s’incliner (que) 25-30.
Eric SEYLLER

 

DUNAFERR 30   –  METKOVIC 23

Salle des Malteries – Mi-temps: 14-11. Arbitrage de MM. Creteau et Alezard. 500 spectateurs environ. DUNAFERR: Szatmmary (1ere’-50e’, 8 arrêts) et Stoehl (51e’-60e’, 1 arrêt) aux buts; Mocsai 5 dont 2/2 pén., Mohacsi 7 dont 1/2 pén., Toro, Kertesz 9, Marcinkevicius 2, Toth 5, Tombor, Bene 2, Decsi, Kemeny, Rosta. METKOVIC: Percin (1ere’-15e’ et 39e’-60e’, 8 arrêts) et Vujovic (16e’-38e’, 7 arrêts) aux buts; Dominikovic 4, Kaleb, Markovski 5 dont 2/2 pén., Zsigmond 1, Raguz, Kubrika 1, Jelcic 3 dt 1/1 pén., Melticic 1, Bjelis 2, Goluza 2, Medic 1, Vukas 3. ‘Exclusions temporaires: à Dunaferr: Rosta (22e’), Decsi (30e’), Kemeny (56e’); à Metkovic: Bjelis (17e’, 53e’), Dominikovic (19e’).
Hongrois rêvés
Après sa défaite de mercredi face à Sélestat, on s’attendait à un rachat de Metkovic face à Dunaferr. Il n’en fut rien. Hormis quelques égalités, la dernière se situant à la 21e’ (9-9), Dunaferr aura mené tout le long du match. Emmenés par Kertesz, Mohacsi, Toth et Mocsai qui inscrivirent tous les buts de leur équipe en première mi-temps, les Hongrois faisaient l’essentiel du jeu et Metkovic perdait petit-à-petit du terrain. ‘Toujours sous l’impulsion d’un Kertesz intenable, Dunaferr accentuait son avance à partir de la 38e’, infligeant un 5-0 rédibhitoire aux Hongrois (23-15, 47e’). Les défenses se libèrent alors, les deux équipes se rendant but pour but, Dunaferr en profitant pour faire le spectacle à l’instar de ce magnifique kung-fu conclu par l’inévitable Balazs Kertesz.
Eric SEYLLER

 


Vendredi 24 Aout 2001

PARIS SG 20  –  ALTEA 24

Centre Sportif de La Robertsau – Mi-temps: 9-12. Arbitrage de MM. Bader et Imloul. 300 spectateurs environ. PARIS SG: Clémençon (1ere’-30e’, 8 arrêts dt 1/2 pén.) et Siffert (31e’-60e’, 7 arrêts dt 1/4 pén.) aux buts; Racine 3, Ignol 1 dt 0/1 pén., Gruszczynski 1, Zuniga , Viktorsson 3 dt 2/3 pén., Arivé, Malatchoumy 3, Payet 2, Chailly, Vojinovic 4, Zuzo 1, Girault 2. ALTEA: Norklit (tout le match, 17 arrêts dt 2/4 pén.) aux buts; Jakobsen 6 dt 3/4 pén., Jimenez 1 dt 0/1 pén., Barbeito 1, Jorgensen 5, Joukov, Marcos 4, Celestino, Milinovic 3 dt 1/1 pén., Jaime 2, Luis, Espar 2, Giner. ‘Exclusions temporaires: au PSG: Zuniga (11e’), Ignol (35e’, 41e’), entraîneur (43e’), Arivé (39e’,55e’); à Altea: Milinovic (43e’).
Après être totalement passé à côté de son match face à Montpellier, le Paris SG avait à coeur de se racheter face à Altea. L’équipe espagnole jouait quant à elle sa place en finale. ‘Le match est très équilibré puisque le 7-7 inscrit par Vojinovic à la 18e’ n’était rien moins que la septième égalité du match…Mais les Ibères ont dans les cages l’excellent Peter Norklit qui se distinguait à nouveau avec 17 arrêts au total. Comme les autres Danois d’Altea, Jakobsen et Jorgensen se mettaient au diapason, le PSG se laissaient distancer en fin de première période. Vojinovic étant le Parisien le plus en vue. ‘Boro Golic sait que l’EuroTournoi sert de préparation à la saison qui commence et a décidé de faire jouer sa jeune garde en seconde mi-temps. Altea de son côté évoluant avec quasiment tout le match avec les mêmes joueurs. Et petit à petit l’écart se creuse en faveur des Espagnols. 10- 15 (37e’), 12-18 (43e’). La mise en place d’une défense 3-2-1 au PSG complique les affaires d’Altea. Le PSG par Malatchoumy et Racine notamment, a plusieurs fois l’occasion de réduire cet écart. Mais Norklit veille et quelques pertes de balles ou tirs précipités sonnent le glas des espoirs parisiens.
Eric SEYLLER

 

SÉLESTAT 22  –  DUNAFERR 24

Centre Sportif de La Robertsau – Mi-temps: 11-12. Arbitrage de MM. Alezard et Creteau. 300 spectateurs environ. ‘SÉLESTAT: Tchoumak (tout le match, 10 arrêts) et Eiché aux buts; Gull 5, Sayad 6 (2 pen), Engel 2, Pabst 1, Karcher 1, Freppel 1, Stachnick 2, Willmann 1, Schmidt 1, Omeyer 1, Feliho 1, Winterberg, Schaerlinger. ‘DUNAFERR: Szatmmary (31e’-49e’, 2 arrêts) et Stoehl (1e-30e’, 50e’-60e’, 8 arrêts) aux buts; Mocsai 4, Mohacsi 6, Kertesz 2, Marcinkevicius 2 (1 pen), Toth 3, Tombor, Bene 1, Decsi, Kemeny 1, Rosta 1, Kuzmicsev 4. ‘Exclusions temporaires: Stachnick (21e’), Engel (46e’), Pabst (57e’) à Sélestat; Kemeny (19e’ et 57e’), Kertesz (30e’), Mocsai (40e’), Marcinkevicius (44e’), Rosta (58e’), Decsi (59e’), Kuzmicsev (60e’) à Dunaferr.
Si Chambéry était d’ores et déjà sûr de jouer la finale de l’ET 2001, Sélestat pouvait disputer la 3e place. Pour cela il fallait battre des Hongrois de Dunaferr alignant pas moins de 10 internationaux dont 8 hongrois. Emmenés par un Seufyann Sayad qui semble prendre enfin les responsabilités du patron qu’il doit être cette saison, les Sélestadiens font jeu égal avec les Magyars. Malheureusement, tombant dans les mêmes travers que face à Chambéry, les hommes de Alain Quintallet perdent trop de balles dans le deuxième quart d’heure. Mocsai et Marcinkevicius en profitent et Dunaferr termine la première période avec un but d’avance (11-12). ‘Christian Omeyer et Sayad marquent les buts permettant au SCS de reprendre l’avantage pour la première fois depuis la 8e’ (13-12, 34e’). Un 1-6 encaissé dans la foulée replace les Alsaciens dans une situation précaire. Comme souvent, le salut vient par la défense, un ballon grappillé après l’autre et Gull égalise à la 50e’. Mais ces satanés pertes de balles, ces satanés tirs sur le poteau et un manque de clairvoyance dans les deux dernières minutes alors que Sélestat joue à six contre quatre puis à six contre trois laissent Dunaferr l’emporter et affronter Montpellier pour la 3e place…
Eric SEYLLER

 

CHAMBERY 28  –  METKOVIC 24

Salle des Malteries – Mi-temps : 16-13. Gymnase des Malteries. Arbitres MM.Chardon et Retif Chambery : Moualek (1), Paillasson(3), Grossmann(5), Gille.B(6), Munier(3), Narcisse(4), Gille.G(4), Wiltberger (1), Kos(1). Metkovic : Bjelis(5), Dominikovic(4), Markovski(3), Zigmund(5), Goluja (1), Meltlicic(3), Jelcic (3).
Chambery a remporté son troisième match de poule (les Savoyards terminent premier avec 9 points) à la manière des grands patrons. Après un début de match un peu chaotique, mais qui s’explique par une organisation défensive audacieuse (en 3 – 3), les champions de France restaient coller aux basques des joueurs de Metkovic. Ces derniers, sous l’impulsion de Dominikovic (4 buts et 5 passes décisives), faisait le break en fin de mi-temps pour mener 17-12. Au retour des vestiaires, l’entraîneur Savoyard Philippe Gardent affichait clairement ses intentions : s’imposer avec autorité. Pour cela, il relançait son équipe type, autrement dit, le rouleau compresseur se mettait en route. Et ça a fait mal. De 20-16 pour Metkovic à la 43ème minute, la marque passait à 25-23 pour Chambéry dix minutes plus tard. Même si l’effort fût collectif, on peut ressortir le trio de champions du monde ; Narcisse a distillé des passes plus savoureuses les unes que les autres et les frères Gille (10 buts à eux deux) se sont chargés de la finition, avec bonheur. Chambéry s’impose 28-24 et rencontrera la révélation de l’EuroTournoi Altéa dans une finale qui s’annonce animée.
Romain Sublon

 

MONTPELLIER 21  –  MAGDEBOURG 19

Salle des Malteries – MONTPELLIER – 2 G.KRANTZ 1/1 – 3 D.DINART 0/0 – 4 D.KABENGEL 2/5 – 6 N.KARABATI 0/0 – 10 L.PUIGSEGU 2/2 – 11 J.FERNANDEZ 7/14 – 13 A.GOLIC 1/4 – 14 S.SIOUD 3/9 – 17 C.BURDET 4/7 – 18 D.SCACCIAN 0/2 – 20 R.GHERBI 1/4 12 B.MARTINI 14/19 – 16 B.PAGES 0/0 MAGDEBOURG 3 B.WIEGERT 0/2 – 4 M.MACHULLA 3/4 – 6 S.KLOPPE 0/0 – 7 C.SCHONE 0/0 – 8 O.STEFASSO 4/9 – 9 G.KERVADEC 2/5 – 10 N.PERUNICI 4/6 – 11 C.SPRENGER 0/1 – 14 S.STIEBLER 0/0 – 19 J.ABATI 2/7 – 73 S.KRETZSCH 4/6 1 S.AGERSCHO 2/4 – 12 A.STANGE 0/0 – 16 C.GAUDIN 10/17
Affolant, enivrant, déroutant, bouillant, grand, excitant, palpitant, brûlant, osons même bandant…Le match Montpellier – Magdebourg fut tout cela à la fois. Et plus encore. A coup sûr le plus beau match de cet EuroTournoi, pour l’instant en tout cas. Dès le début, les joueurs affichaient leurs motivations : Golic menait ses troupes, Puigségur donnait de la voix, Stiebler hurlait à s’exploser les cordes… Christian Gaudin (9 arrêts) et l’arrière gauche Montpelliérain Fernandez (4 buts tous décisifs) ont marqué la première mi-temps. Fernandez inscrivait un dernier but sur le buzz permettant à son équipe de mener 9-8. Deuxième mi-temps : même topo. En plus chaud. Kabangele et Perunicic s’expliquent un peu trop virilement, la main d’Abati croise souvent la tête de Golic et les expulsions pour deux minutes s’enchaînent. Le niveau technique est toujours aussi stupéfiant. Stupéfiant, Bruno Martini l’est à plus d’un titre : 11 arrêts dont 3 pénalties ! La fin du match est complètement dingue…Arrêts incroyables, tirs de mammouths, passes astucieuses, fautes flagrantes, les spectateurs ne savent plus comment exprimer leurs émois. Ils savourent, les yeux grands ouverts. C’est finalement Montpellier, grâce notamment à une fin de partie titanesque de Burdet, qui aura le dernier mot (21-19), privant Magdebourg de la finale. Mais que ce fut beau !
Romain Sublon

 


Samedi 25 Aout 2001

Finale

Chambéry 24   –  Altea 15

Mi-temps 13-8. Arbitrage de MM. Bord et Buy. 1 500 spectateurs environ. Sortis pour deux minutes : B. Gille (14e, 51e), Kos (27e), G. Gille (39e), Munier (42e), Molliex (59e) à Chambéry ; Jaime (47e), Jorgensen (51e, 55e), Cabanas (entraîneur, 55e), Marcos (56e) à Altea. Carton rouge au banc (56e).  CHAMBERY : Varloteaux (1ere-30e, 5 arrêts) et Arriuberge (31e-60e, 11 arrêts dont 3 pen) aux buts. Moualek, Delric 4, Paillasson 3 (2 pen), Grossmann 3, B. Gille 5, Munier, Narcisse 2, G. Gille 2, Molliex 4, Wiltberger 1 pen, Kos.  ALTEA : Norklit (tout le match, 15 arrêts), Celes et David aux buts. Jakobsen 6 (1 pen), Barbeito 1, Jorgensen, Joukov 1, Marcos, Jimenez 7, Giner, Milinovic, Jaime, Luis, Espar.
Chaud… Chaud sur le terrain, chaud autour. Il a fait très chaud, limite canicule, hier aux Malteries à Schiltigheim pour la clôture du 8e EuroTournoi de Strasbourg. Une dernière journée réservée aux matches de classements qui a donné lieu à quelques explications de toute beauté.  Il en fut ainsi pour la grande finale, celle opposant, en début de soirée, les deux seules équipes encore invaincues. Les Savoyards de Chambéry, champions de France en titre, et les Espagnols d’Altea.
Altea, la bonne surprise
On attendait, du moins on espérait, les premiers. Moins, beaucoup moins, les seconds dont on ne savait pas grand chose avant le début de semaine, sinon qu’ils entendaient, cette année, jouer les premiers rôles dans leur Liga.  Et les joueurs de Javier Cabanas, ancien grand du Teka Santander et recordman des sélections en équipe d’Espagne, ont montré, durant ces quatre jours, qu’ils pouvaient effectivement viser haut, qu’ils avaient les moyens de leurs ambitions  Ils avaient annoncé la couleur dès mercredi, surprenant une équipe de Montpellier peut-être trop confiante (21-20). Mais s’ils confirmèrent le lendemain face à Magdebourg (27-27), ils ne purent rien, hier, devant une excellente équipe Chambérienne.
La machine à broyer
C’est que Bertrand Gille, élu meilleur joueur du tournoi, et ses camarades, définitivement décomplexés par leur titre de champion de France, ont impressionné durant leur semaine strasbourgeoise. S’appuyant sur une défense style paroi rocheuse au sein de laquelle Marc Wiltberger a fort bien trouvé sa place, les Chambériens ont pratiquement tout broyé sur leur passage. Dunaferr d’abord, Sélestat et Metkovic ensuite, Altea hier.  Les Espagnols ne firent, finalement, illusion que durant un petit quart d’heure (5-5). Le temps pour « Bobo » Gille de mettre les siens sur orbite (13-8 à la pause) et pour ces derniers de suivre l’exemple.  De match, il n’y en eut alors plus vraiment, tant Arriuberge (quelle deuxième mi-temps !) et ses camarades dominèrent les débats. Au point de faire perdre leur espagnol aux joueurs d’Altea qui se retrouvèrent, durant une bonne minute, à… deux joueurs de champ sur le terrain (55e). Mais tout était alors déjà dit (20-14), Chambéry en profitant cependant pour enfoncer le clou (24-15).

 

Finale 3-4

Montpellier 25   –  Dunaferr 21

 Mi-temps 11-12. Arbitrage de MM. Bader et Imloul. 1 500 spectateurs environ. Sortis pour deux minutes : Kabengele (32e), Dinart (44e et 52e), Gherbi (51e) à Montpellier ; Marcinkevicius (29e et 39e), Kemeny (30e et 59e), Kuzmicsev (32e et 58e), Rosta (52e) à Dunaferr .  MONTPELLIER : Omeyer (1e-19e et 55e-60e, 3 arrêts) et Pages (20e-54e 8 arrêts dont 1 pen) aux buts. Krantz, Dinart, Kabengele, Karabatic, Puigsegur 2, Golic 1 pen, Sioud 6 dont 1 pen, Burdet 3, Scaccianoce 4, Gherbi, Fernandez 9 dont 1 pen.  DUNAFERR : Stoehl (34e-60e, 6 arrêts) et Szathmari (1e-33e, 8 arrêts) aux buts. Kuzmicsev, Kemeny 1, Torb, Bene 3, Rosta 1, Kertesz 1, Mohacsi 4 dont 2 pen, Markincevicius, Toth 2, Tombor, Mocsai 5, Decsi 4.
Montpellier s’est, de son côté, octroyé la 3e place du tournoi en se défaisant de Dunaferr. Un succès arraché en deuxième période (les Hongrois menaient 11-12 à la mi-temps) grâce à un Fernandez extra-terreste (7 buts après la pause). Intéressant pour des Héraultais qui n’auront commis qu’un faux pas, face à Altea lors de la première journée.

Finale 5-6

Magdebourg 31   –  Sélestat 27

Mi-temps 14-12. Arbitrage de MM. Bourgeois et Denis. 1 500 spectateurs environ. Sortis pour deux minutes : Stiebler (47e), Kretzschmar (57e) à Magdebourg ; Feliho (27e) à Sélestat .  MAGDEBOURG : Agerschou (1ere-39e, 8 arrêts), Stange et Gaudin (40e-60e, 2 arrêts) aux buts. Wiegert 7 (2 pen), Machulla 6, Kloppe, Stefansson 1, Kervadec 4, Sprenger 2, Stiebler 1, Abati 7, Kretzschmar 3.  SÉLESTAT : Tchoumak (tout le match, 10 arrêts dont 1 pen) et Eiché aux buts. Schmidt 1, Karcher 1, Engel 3, Pabst 1, Omeyer 1, Feliho 2, Sayad 5 (2 pen), Stachnick 1, Willmann 1, Winterberg, Freppel 3, Schaerlinger 1, Gull 7.
Un peu plus tôt, Sélestat avait fait très bonne impression face à Magdebourg, les Alsaciens faisant jeu égal avec le champion d’Allemagne durant 50 minutes (ils menaient 21-18 à la 45e) avant de céder à la fatigue.

 

Finale 7-8

Paris SG 29   –  Metkovic 23

Mi-temps 15-9. Arbitrage de MM. D. et T. Carmaux. 400 spectateurs environ. Sortis pour deux minutes : Ignol (49e et 59e), Viktorsson (56e), Malatchoumy (60e) au PSG ; Kaleb (18e), Meltlicic (44e et 54e), Dominikovic (58e) à Metkovic.  PARIS SG : Siffert (1ere-30e, 7 arrêts) et Clemençon (31e-60e, 8 arrêts) aux buts. Viktorsson 7 (2 pen), Girault 6 (1 pen), Arive 4, Zuzo 2, Racine 1, Ignol 1, Zuniga 1, Malatchoumy 1, Chailly 6, Gruszczynski, Payet.  METKOVIC : Vujodic (1ere-6e et 25e-47e, 5 arrêts dont 1 pen) et Percin (7e-24e et 48e-60e, 6 arrêts) aux buts. Markovski 6 (2 pen), Kaleb 4, Bjelis 3, Goluza 3, Zsigomd 3, Meltlicic 2, Dominikovic 1, Medic 1, Raguz, Vukas, Kukrika, Jelcic.
Le PSG, enfin, emmené par un très bon Girault, a remporté son premier match du tournoi face à Metkovic, laissant la dernière place à une bien décevante équipe croate, pourtant finaliste de la dernière coupe d’Europe EHF.

 

PAGE APRÈS PAGE, CHAPITRE APRÈS CHAPITRE
Il y a un an de cela, nous accueillions quatre équipes nationales qui s’apprêtaient à en découdre dans les mois suivants pour décrocher un titre olympique et un titre mondial. Nous connaissons maintenant l’épilogue de cette histoire, de cette belle histoire. Aujourd’hui, nous accueillons quelques champions olympiques et la plupart de nos champions du monde. Une très belle page du handball français a été écrite et les vedettes de ce conte viennent à la rencontre de tous les Alsaciens amoureux de handball. C’est sûrement l’histoire d’un rendez-vous réussi. S’il y a tous les personnages de cette merveilleuse épopée, il y a aussi celui qui tenait la plume. Après quantité d’ouvrages prometteurs, son premier grand succès date de 1995. Ramené des lointaines terres volcaniques d’Islande, personne ne l’a oublié. Son chef d’oeuvre est plus récent et s’est déroulé plus près de nous. 2001 est une année qu’aucun passionné de hand ne pourra oublier. Daniel COSTANTINI puisque c’est de lui qu’il s’agit, honorera une fois de plus l’EuroTournoi. Nous le considérons comme le parrain de cette épreuve tant son soutien à été handballistiquement et moralement efficace. Il se sait ici en terre d’amitié, un autre livre dont toutes les pages lui sont ouvertes. L’avenir de l’équipe de France est désormais dans les mains de Claude ONESTA et Sylvain NOUET. Ce ne sont pas de petits jeunes tombés de la dernière pluie. L’un et l’autre ont déjà de belles lettres de noblesse dans le monde du handball. Nous les accueillons avec joie pour leur première apparition dans leur nouvelle fonction en Alsace. Nos remerciements et nos encouragements les accompagnent afin qu’au fil des prochains chapitres, le grand livre du handball continue de nous réjouir et de nous faire rêver. Installons-nous confortablement pour nous régaler du début d’une nouvelle grande aventure en exprimant notre reconnaissance à tous les acteurs qui vont évoluer devant nous. Avec un peu d’optimisme, on pourra peut-être y voir aussi le prologue à de nouvelles aventures pour le handball alsacien.
C.C.

(Edito de l’EuroMag N°24 du mercredi 22 Aout 2001 par Christian CARL)
Date Titre
26 08 2001 Boro Golic, le formateur
26 08 2001 Chambéry en champion
26 08 2001 Chambéry sur les cimes
25 08 2001 Une finale inédite
25 08 2001 Onaesta : “la mission rêvée”
25 08 2001 Le petit Karabatic illustré
25 08 2001 La cage aux fous
25 08 2001 Rencontre avec Petar Metlicic
24 08 2001 Pas de sentiments
24 08 2001 Les nouvelles règles
24 08 2001 Dr Gardent et Mister Boul
24 08 2001 Le palmares des costauds
24 08 2001 S’en sortir sans (trop) sortir
24 08 2001 Chambéry se place
24 08 2001 Rencontre avec Peter Norklit
24 08 2011 Omeyer nait aux ambitions
23 08 2001 La Réunion fait la force
23 08 2001 Rencontre avec Eric Gull
23 08 2001 Inspecteur Gueric
23 08 2001 Surprise et sensation
23 08 2001 Igor, la force tranquille
22 08 2011 Magdebourg, l’exeption
22 08 2001 Le retour des “exilés”
22 08 2001 Selestat, le test idéal
22 08 2001 Magdebourg, l’exception
21 08 2001 Andrej aux mains d’argent
20 08 2001 Tournoi, mode d’emploi
20 08 2001 Sayad, l’âge des possibles
18 08 2001 Avec Kiki Gaudin
18 08 2001 Wiltberger fidèle au poste
15 08 2001 L’internationale de Strasbourg
13 08 2001 Que du bonheur
25 06 2001 Chambéry et Magdebourg en vedettes
21 06 2001 L’EuroTournoi dans la continuité
15 06 2001 Igor Tchoumak à Sélestat
11 06 2001 Une saison de plus….
11 06 2001 Au rendez vous des stars
08 06 2001 Altea, le huitième
23 03 2001 Du beau monde à l’EuroTournoi
06 03 2001 Europe
27 02 2001 Coupe
15 02 2001 Eurotournoi à Strasbourg
13 02 2001 Sept sur huit
25 01 2001 Au rendez vous des stars
05 01 2001 L’EuroTournoi se met en place
Translate »